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L’OFSP constitue des bases de connaissances dans le domaine de l’égalité des chances en matière de santé. Il lance également des études sur la situation sanitaire des groupes défavorisés.

Le réseau Swiss Hospitals for Equity et l’OFSP s’associent pour garantir un accès équitable aux soins ainsi que des traitements de qualité à tous les patients, quels que soient leur origine, leur langue et leur statut socioéconomique.

En cas de difficultés de communication, des interprètes communautaires professionnels garantissent que professionnels de la santé et locuteurs allophones se comprennent. L'OFSP soutient cette prestation essentielle dans le domaine de la santé.

Trouvez des informations sur la santé faciles à comprendre en une cinquantaine de langues; Demandez-nous conseil. Atteignez des groupes cibles vulnérables via les médias des communautés migrantes.

Nous soutenons les efforts entrepris pour améliorer la littératie en santé des personnes socialement défavorisées en Suisse. Dans ce contexte, les professionnels de la santé et du domaine social jouent un rôle central.

L'OFSP s'engage à ce que les acteurs œuvrant dans le domaine de la promotion de la santé et de la prévention tiennent compte de tous les groupes de population dans les mesures qu'ils mettent en place.

Notre système de santé repose sur le principe de l’ouverture et de la solidarité. Il doit être accessible à tout un chacun, indépendamment de sa langue, de son origine, de son statut social et de son niveau de formation.

La bonne santé des collaborateurs est profitable aux entreprises. Divers acteurs aident les employeurs de manière directe ou indirecte à promouvoir la santé de leurs employés à l’aide de mesures de gestion de la santé en entreprise (GSE). La Haute école spécialisée du nord-ouest de la Suisse a réalisé un « Paysage des acteurs de la GSE » qui donne pour la première fois une vue d’ensemble des organisations qui travaillent en Suisse sur ce thème.

Dans quelle mesure la consommation de cannabis contenant du THC constitue-t-elle un danger au volant ? Une étude actuelle de l’institut de médecine légale de l’Université de Bâle répond à cette question. Ses auteurs concluent qu’à partir d’une concentration comprise entre 3 et 4,1 nanogrammes par millilitre (ng/ml) de sang, les automobilistes sont autant affectés que s’ils présentaient un taux d’alcoolémie de 0,5 pour mille. Le risque d’accident augmente à partir d’une valeur de THC de 5 ng/ml.

Positive effects of nature-based solutions on citizen's physical and mental health