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Des chercheurs de l'Hôpital universitaire pour enfants de Zurich et de l'Université de Berne ont interrogé près de 6000 enfants et adolescents des pays germanophones au printemps 2020. Jusqu'à 43 % des personnes interrogées souffrent de problèmes psychologiques accrus, qui varient selon l'âge. Ils ont également constaté des effets positifs de la pandémie.

À quoi reconnaissez-vous qu’un programme de promotion à l’autogestion est un programme de qualité ? Comment développer votre programme de manière à ce qu’il corresponde aux standards de bonnes pratiques en vigueur en Suisse actuellement, voire à ce qu’il devienne un modèle à suivre, au sens d’un standard de référence pour d’autres ? Voilà quelques-unes des questions auxquelles le présent guide vise à répondre.

Au cours des dernières années, plusieurs pays ont revu leur politique en matière de drogue. Dans ce contexte, le Conseil fédéral a entrepris de dresser un état des lieux et a présenté les perspectives de développement de la politique en matière de drogue.

Une étude publiée en 2018 par l’OFS qui montre que les étudiant∙e∙s jugent leur santé plus négativement que les autres jeunes du même âge, et que 18% des étudiant∙e∙s suisses souffrent de problèmes de santé. Cette même étude a révélé que les problèmes psychiques sont le deuxième problème de santé le plus fréquent chez les étudiant∙e∙s suisses.

Le guide fournit des informations utiles sur le financement des programmes de promotion à l’autogestion. Ce guide est disponible en allemand, français et italien.

La politique en matière de drogue doit être ajustée à l’évolution actuelle de la consommation, davantage tournée vers les drogues récréatives et concernant en particulier les jeunes. C’est ce qui ressort d’un rapport sur l’avenir de la politique en matière de drogue, adopté par le Conseil fédéral lors de sa séance du 28 avril 2021.

La santé vous tient à cœur ? Nous aussi, c'est pourquoi nous avons besoin de vous ! Ensemble, nous encourageons la santé en Suisse et réduisons les effets des maladies non transmissibles et des addictions. Nos activités de recherche au sein d'un réseau motivé de partenaires internes et externes contribuent à cette ambition. Ces tâches motivantes n'attendent que vous.

Certaines mesures de protection contre le coronavirus influencent les facteurs de risque des maladies non transmissibles. Par exemple, de nombreuses personnes pratiquent moins d’activité physique qu’auparavant en raison du télétravail et du nombre limité d’offres sportives ; par ailleurs, le manque de contacts sociaux a un impact négatif sur la santé psychique. Inversement, les maladies non transmissibles augmentent le risque de connaître une évolution grave lors d’une infection au COVID-19.

L’investissement dans la promotion de la santé et la prévention des maladies non transmissibles (MNT) aide à faire face à la pandémie. En effet, les personnes en bonne santé sont plus résistantes aux maladies transmissibles.

Aujourd'hui, le nombre de personnes qui atteignent la vieillesse est plus élevé que jamais. Les personnes âgées doivent pouvoir vivre de manière autonome dans leur propre maison le plus longtemps possible et bénéficier d'une qualité de vie élevée. Le renforcement de la santé mentale des personnes âgées et de leurs aidants revêt donc une grande importance. C'est le sujet de notre brochure destinée aux personnes qui s'occupent de leurs proches, les soignent et s'en occupent.