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Même si 10000 pas par jour sont largement vantés comme étant bénéfiques pour la santé, il existe peu de preuves à l'appui de cette recommandation. Cette étude tente de démontrer le lien entre le nombre de pas par jour ainsi que la fréquence des pas et la mortalité totale. Elle conclut qu'un plus grand nombre de pas par jour est associé à un risque de mortalité globale progressivement plus faible. Ces résultats soulignent l'importance de la promotion de l'activité physique.

Le développement durable nécessite un développement interne : Le Parlement européen souligne l’importance de l’ODD 17 (partenariats) et relève, dans le cadre des partenariats mondiaux et du renforcement des capacités, le rôle innovant des initiatives telles que l’initiative relative aux objectifs de développement interne, qui visent à éduquer, et inspirer les individus et leur donner les moyens d’être une force motrice du changement dans la société, accélérant ainsi la réalisation des ODD.

Le changement climatique représente l'une des plus grandes menaces pour la santé de la population. Une collaboration intersectorielle entre la protection du climat et la promotion de la santé présente un grand potentiel pour les deux domaines. Afin de créer une base solide pour une telle collaboration et d'établir une définition claire de l'interface commune des deux domaines et de montrer les possibilités d'approche de la collaboration, le Fonds Gesundes Österreich a publié un rapport.

Les risques environnementaux, en particulier la pollution de l'air et le bruit, contribuent de manière significative à la charge de morbidité des maladies cardiovasculaires. Leurs effets chroniques sur la santé ne peuvent pas être étudiés au moyen d'études randomisées. Mais de grandes cohortes administratives combinées à des biobanques de recherche contribuent de manière centrale à la compréhension des mécanismes d'action biologiques grâce au Big Data et à la recherche sur les exposomes.

Le Compendium de l'OMS sur la santé et l'environnement est un recueil de directives de l'OMS visant à améliorer la santé en créant un environnement plus sain. Il offre une vue d'ensemble et un accès à 500 mesures, ainsi que des suggestions pour planifier des interventions en matière de santé et d'environnement. Le Compendium couvre des domaines tels que la pollution de l'air, l'eau et l'hygiène, le changement climatique, les produits chimiques, les rayonnements et les systèmes alimentaires.

La revue "Aktuelle Kardiologie" a consacré un numéro à l'environnement en tant que facteur important pour notre santé. Les effets du bruit, des polluants d'air et de la 5G sur la santé y sont abordés. Il est en outre montré ce que les villes peuvent faire pour protéger la santé cardiaque de leurs habitants et le concept d'exposome est présenté, qui permet de décrire la somme de toutes les expositions qui nous affectent tout au long de notre vie et qui contribuent à des atteintes à la santé.

En Afrique du Sud, le pays avec le plus grand nombre de personnes infectées par le VIH, le diabète tue désormais plus de personnes que le VIH. La question se pose comment intégrer le traitement des maladies non transmissibles (MNT) dans les soins du VIH. D'autres pays africains sont également confrontés à ce problème, car la charge de morbidité sur le continent se déplace des maladies infectieuses vers les MNT et les personnes infectées par le VIH deviennent plus vulnérables aux MNT avec l'âge.

La "Global Week for Action on NCDs" aura lieu du 5 au 11 septembre 2022. Cette semaine d'action vise à rassembler chaque année le mouvement des MNT autour d'un thème précis afin de lutter ensemble contre les MNT et d'améliorer la santé et l'équité globalement. En 2022, il s'agit de mettre en évidence le besoin urgent d'augmenter les ressources financières pour la prévention et le traitement des MNT. La campagne appelle tout le monde à s'engager. Un événement virtuel est par ailleurs organisé.

Données relatives à la prévalence, modèles de consommation chez les jeunes, chiffres concernant l’exposition au tabagisme passif ou la mortalité – AT Suisse propose pour la première fois sur son site internet, avec sa nouvelle section « Données & chiffres », une vue d’ensemble des données de monitorage disponibles sur la consommation de tabac et de nicotine en Suisse.

17 nations ont participé à l’étude Health Literacy Survey 2019-2021. 49% de la population suisse fait état de difficultés fréquentes en lien avec le traitement des informations en matière de santé et possède donc un faible niveau de littératie en santé. Si l’on prend les 17 pays (y. c. la Suisse), on constate que 46 % des personnes sondées font état de difficultés fréquentes. La proportion de personnes possédant une faible littératie en santé est donc légèrement plus élevée en Suisse.