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L’étude sur les compétences en santé (HLS19) montre que, dans tous les pays participants, les compétences en santé de la population sont parfois problématiques, et qu'un faible niveau de compétences en santé est lié à des désavantages socioéconomiques. L'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, la Bulgarie, le Danemark, la France, la Hongrie, l'Irlande, Israël, l'Italie, la Norvège, le Portugal, la Fédération de Russie, la Slovaquie, la Slovénie, la Suisse et la République tchèque ont participé.

L'augmentation de l'activité physique est depuis longtemps un objectif des interventions politiques. Cependant, se concentrer uniquement sur l'augmentation des niveaux d'activité pour la santé peut désavantager certaines populations. Repenser les interventions dans un contexte de 24 heures offre de nouvelles possibilités d'améliorer la santé. Par exemple, la modification du sommeil et du comportement sédentaire peut avoir des effets bénéfiques sur la santé équivalents à ceux de l'exercice.

L'étude sur les compétences en santé en Suisse a été menée de 2019 à 2021. Un échantillon représentatif de l’ensemble de la population suisse (dès 18 ans) a été interrogé sur les difficultés rencontrées dans le traitement des informations relatives à la santé. Les résultats permettent d’évaluer le niveau de littératie en santé de la population suisse.