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S.A.R.A.H. est un 'Smart AI Resource Assistant for Health' de l'Organisation mondiale de la Santé. Basée sur l'intelligence artificielle générative, Sarah a été entraînée à fournir des informations sur les principaux sujets de santé. Elle donne par exemple des informations sur les bonnes habitudes, la santé mentale, le cancer ou le diabète. L'objectif est de permettre l'accès aux informations relatives à la santé et permettant aux personnes du monde entier d'exercer leur droit à la santé.

Une nouvelle étude de l’Université d’Innsbruck prouve que les consommateurs et les consommatrices d’e-cigarettes développent des cellules présentant des modifications associées au cancer qui sont similaires à celles des fumeurs et des fumeuses. Un indice important qui montre que les e-cigarettes ne sont pas « inoffensives ».

Du 14 au 22 mars 2024, la Suisse a participé à la 67ème session de la Commission des stupéfiants des Nations Unies, à Vienne, dont elle est membre pour la période 2021-2025. Cette session s’est achevée sur l’adoption d’une résolution sur la prévention et la réponse aux overdoses qui reconnaît, explicitement et pour la première fois dans l’enceinte de la Commission, le concept de réduction des risques.

Movendi International est un mouvement mondial indépendant qui s'engage pour la prévention en matière d’alcool. Le mouvement a identifié six thèmes relatifs à la prévention en matière d’alcool qui ont été importants en 2023 au niveau mondial. Il s'agit notamment de la prise de conscience croissante du lien entre l'alcool et le cancer, de l'acceptation croissante des avertissements sur les produits alcoolisés et de la prise de conscience croissante du potentiel des taxes sur l'alcool.

La Commission européenne a ouvert une procédure formelle afin de déterminer si TikTok a enfreint le règlement sur les services numériques dans des domaines liés à la protection des mineurs, à la transparence de la publicité, à l'accès des chercheurs aux données, ainsi qu'à la gestion des risques liés à la conception addictive et aux contenus préjudiciables.

Une coalition de l'administration, de la politique, de la science et de la société civile s'accorde à dire qu'il faut créer une politique plus humaine en matière de drogues. Le bien-être des personnes touchées par les effets des marchés des drogues illégales et les dommages sanitaires, sociaux et économiques qui y sont liés doit être pris en compte. Une approche intégrée de la lutte contre les drogues, prenant en compte ces aspects importants, doit être adoptée du point de vue de la coalition.

La mise en place d’un accès légal au cannabis à des fins récréatives peut s’inspirer de l’expérience tirée de la réglementation de l’alcool et du tabac. Le contrôle des prix ainsi que la restriction de la publicité et de la disponibilité des produits sont les mesures les plus efficaces pour réduire la consommation légale de substances addictives, selon une étude de l’université de Nouvelles Galles du Sud (Australie) mandatée par l’Office fédéral de la santé publique.

La mise en place d’un accès légal au cannabis à des fins récréatives peut s’inspirer de l’expérience tirée de la réglementation de l’alcool et du tabac. Le contrôle des prix ainsi que la restriction de la publicité et de la disponibilité des produits sont les mesures les plus efficaces pour réduire la consommation légale de substances addictives, selon cette étude de l’université de Nouvelles Galles du Sud (Australie) mandatée par l’Office fédéral de la santé publique. Etude en angalis.

Plusieurs pays ont développé des modèles alternatifs à la vente commerciale de cannabis à des fins récréatives (p. ex. Canada, USA, Uruguay). Parmi les solutions à but non lucratif déjà en place, la production personnelle, les Cannabis Social Clubs (CSC) et les monopoles de vente étatiques constituent les plus importantes. Une étude de RAND, mandatée par l’Office fédéral de la santé publique, a analysé ces modèles et effectué des premières analyses d’impact des politiques.

Plusieurs pays ont développé des modèles alternatifs à la vente commerciale de cannabis à des fins récréatives (p. ex. Canada, USA, Uruguay). Parmi les solutions à but non lucratif déjà en place, la production personnelle, les Cannabis Social Clubs (CSC) et les monopoles de vente étatiques constituent les plus importantes. Une étude de RAND, mandatée par l’Office fédéral de la santé publique, a analysé ces modèles et effectué des premières analyses d’impact des politiques. Etude en anglais.