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ontécoute.ch est un site pour les jeunes romand·e·s âgé·e·s entre 18 et 25 ans. Il offre un espace d’expression sans tabou, au sujet d’une infinité de thématiques sur la santé, enrichi de réponses professionnelles et de partage entre pairs. Une multitude d’articles spécialisés est mise à disposition des jeunes, ainsi qu’un large panel d’adresses ressources. L'utilisation des différents services du site est gratuite et anonyme.

ciao.ch est un site d'information, d'aide et d'échange autour de la santé pour les jeunes romand·e·s. Sa facilité d'accès et les nombreuses thématiques disponibles donnent à chacun·e l’opportunité d’apprendre, de demander conseil, de trouver du soutien de professionnel·le·s et d’échanger entre pairs. Un large panel d’adresses ressources est également à disposition. Tout est disponible de manière gratuite, anonyme et sur une plateforme sûre et supervisée.

Un élève de 17 ans de Suisse romande a créé pour son travail de maturité un site Internet sur la prévention du cancer des testicules. Lui-même atteint de ce cancer à l'âge de 16 ans, le gymnasien souhaite, par son site, informer la population de l'existence du cancer des testicules et des possibilités de prévention.

Movember est un mouvement qui s'engage pour la santé mentale des hommes, pour la prévention du suicide et pour la prévention et les bons soins du cancer de la prostate et des testicules. Le site web de la communauté invite tous les hommes à se joindre à ce mouvement et à participer à l'une des activités de Movember, avec pour devise : Prends du plaisir à faire le bien.

Une étude de l'OMS s'est penchée sur la question de savoir pourquoi les hommes vivent moins longtemps que les femmes. Dans le monde entier, il naît plus de garçons que de filles – mais les femmes vivent plus longtemps. Certaines causes de l'espérance de vie plus courte des hommes s'expliquent génétiquement, d'autres sont liées aux rôles des genres dans la société.

Dans le cadre de l’Enquête suisse sur la santé 2017, les différences de santé et de comportement de santé entre les hommes et les femmes ont été examinées. L’étude révèle que les hommes utilisent moins de programmes de dépistage et de prévention que les femmes, qu’ils souffrent plus souvent de diabète de type 2, qu’ils fument plus et qu’ils passent plus d'heures assis chaque jour. Une telle analyse permet de développer des stratégies de prévention et de promotion de la santé spécifiques.

L’édition 2021 du rapport « Le cancer en Suisse » le confirme : de plus en plus de personnes vivent avec un cancer ou ont la maladie derrière elles. Pourtant, il n’y pas de stratégie de lutte contre le cancer au niveau national actuellement. La Ligue contre le cancer continue par conséquent de s’engager aux côtés de différents acteurs pour garantir un dépistage, un traitement et un suivi de haute qualité accessibles à toutes les personnes domiciliées en Suisse.

Les programmes cantonaux de dépistage du cancer du sein satisfont aux normes de qualité nationales et internationales. C’est ce que montre le rapport de monitorage national. Les résultats sont toutefois sensiblement différents d’un canton à l’autre. Le monitorage permet de repérer les éventuels problèmes – une proportion élevée de faux positifs, par exemple – et de prendre des mesures pour y remédier dans les cantons concernés.

De nombreuses personnes atteintes de cancer sont inquiètes de l’afflux constaté ces dernières semaines de patient-e-s Covid-19 aux unités de soins intensifs. Elles craignent que leur traitement soit reporté. La Ligue contre le cancer exige que l’accès aux traitements anticancéreux urgents soit assuré en tout temps. Elle appelle également la population à se vacciner et à continuer d’appliquer les mesures de protection.

Der nationale Monitoringbericht zur Brustkrebsfrüherkennung zeigt: Die kantonalen Brustkrebs-Screening-Programme entsprechen grösstenteils den nationalen und internationalen Qualitätsstandards. Allerdings sind die Resultate je nach Kanton sehr heterogen. Das Monitoring erlaubt es, mögliche Probleme zu identifizieren – beispielsweise eine hohe Anzahl falsch-positiver Befunde – und in den betroffenen Kantonen entsprechende Massnahmen zu ergreifen.