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Certaines mesures de protection contre le coronavirus influencent les facteurs de risque des maladies non transmissibles. Par exemple, de nombreuses personnes pratiquent moins d’activité physique qu’auparavant en raison du télétravail et du nombre limité d’offres sportives ; par ailleurs, le manque de contacts sociaux a un impact négatif sur la santé psychique. Inversement, les maladies non transmissibles augmentent le risque de connaître une évolution grave lors d’une infection au COVID-19.

L’investissement dans la promotion de la santé et la prévention des maladies non transmissibles (MNT) aide à faire face à la pandémie. En effet, les personnes en bonne santé sont plus résistantes aux maladies transmissibles.

Aujourd'hui, le nombre de personnes qui atteignent la vieillesse est plus élevé que jamais. Les personnes âgées doivent pouvoir vivre de manière autonome dans leur propre maison le plus longtemps possible et bénéficier d'une qualité de vie élevée. Le renforcement de la santé mentale des personnes âgées et de leurs aidants revêt donc une grande importance. C'est le sujet de notre brochure destinée aux personnes qui s'occupent de leurs proches, les soignent et s'en occupent.

Informations sur les maladies non transmissibles (MNT) les plus courantes liées au nouveau coronavirus

L'exercice physique est une option thérapeutique efficace en cas de maladies psychiques. Mais l'exercice physique a également des effets préventifs : Les personnes ayant un mode de vie passif présentent un risque accru de maladie mentale. L'effet préventif de l'activité physique est particulièrement fort dans le cas de la dépression. La recommandation de l'OMS est de 150 minutes d'activité modérée par semaine.

Une nouvelle étude de l'université de Zurich montre que la croyance en sa propre auto-efficacité est importante . «Un élément clé de la résilience est l'auto-efficacité - la croyance que nous pouvons influencer les choses, au moins de façon modeste, même si certaines choses sont immuables" dit Birgit Kleim., Professeure de psychologie à l'UZH.

Le rapport « Gestion des crises et offres d’assistance » présente des résultats similaires aux enquêtes précédentes : Dans des situations de grand désespoir, peut-être même avec des pensées suicidaires, la majorité de la population s’adresserait à des personnes de son entourage proche. En cas de détresse dans l'entourage, la plupart des interrogées lui demanderaient ce qui ne va pas. De nombreuses personnes ne connaissent pas de point de contact vers lequel se tourner en cas de crise.

Pourquoi les premières années de la vie sont-elles si déterminantes ? La santé mentale, ça commence quand? C’est une interaction complexe de facteurs et d’événements qui nous permet de grandir et de nous épanouir tout au long de la vie. Mais le tout début, ces premiers jours, mois et années que sont la petite enfance, représentent une étape fondatrice pour notre santé mentale.

Elle sensibilise et fait des suggestions pour les soins de la santé mentale au quotidien. Les images et les textes courts sont disponibles gratuitement. En faisant travailler le plus grand nombre d'acteurs possible avec le même message, la reconnaissance et l'efficacité de la campagne sont accrues.

Le portail Praticien Addiction Suisse soutient les professionnels des soins de base dans leur travail auprès des personnes souffrant d’addiction. Il a une grande utilité pour les médecins de famille ou encore les pharmaciens : Il regroupe à leur attention des renseignements pertinents sur ces sujets et leur fournit des conseils pratiques pour le traitement. Le portail est dédié aux substances telles que l’alcool, la nicotine ou la cocaïne, mais aussi à la dépendance au jeu et aux médicaments.