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Le rapport « Santé des bénéficiaires de l’aide sociale » fournit des données sur l’état de santé et la prise en charge sanitaire de ces personnes, ainsi que l’influence de leur santé sur la reprise d’une activité lucrative.

Les conclusions se fondent sur des données suisses (ou, dans le cas de projets internationaux, prennent en compte des données suisses). Cette liste ne prétendant pas être exhaustive, l’OFSP la complète volontiers.

11 recommendations de l'OMS-Europe pour quatre groupes/domaines: 1. general population and communities; 2. vulnerable groups; 3. public mental health services; 4. health- and social-care workforce. Des interventions préventives à bas seuil devraient être proposées pour améliorer la résilience de la population.

Jusqu’à présent, une grande partie de la population suisse a bien fait face à la crise. Malgré ce premier bilan positif, la pandémie de coronavirus est associée à une pression psychique considérable pour certains groupes de la population.

Une équipe d'experts en épidémiologie, psychologie, économie, médecine et santé mentale propage recherche à grande échelle sur les conséquences à long terme de COVID-19 sur la santé mentale. L'anxiété, la dépression et le stress ont augmenté au cours des premiers mois de la pandémie. Le rapport présente sept recommandations (une urgente, deux à court terme et quatre permanentes) pour soutenir la santé mentale pendant la pandémie et au-delà.

De nos jours, savoir utiliser les médias est tout aussi important qu’apprendre à lire, à écrire et à calculer. Apprendre à s’en servir de façon sûre et responsable fait donc partie intégrante du programme scolaire, à tous les niveaux.

Les enfants et les jeunes grandissent de nos jours dans un univers médiatique particulièrement riche. Les personnes responsables de leur éducation s’y sentent bien souvent déstabilisées ou même dépassées et s’interrogent à juste titre : combien de temps au maximum un enfant devrait-il consacrer aux médias numériques? Et quels sont les risques et les opportunités qu’ils recèlent?

Le traitement responsable des informations sur le suicide constitue un objectif important du plan d’action pour la prévention du suicide. L’étude ci-après nous permettra de soutenir les acteurs engagés dans ce domaine

PEPra - Prévention au cabinet médical fondée sur le preuves est un projet porté par la FMH et d'autres partenaires. Son but est, d'ici à 2024, d'établir un ensemble de mesures coordonnées pour la prévention au cabinet médical, utiles tant pour le médecin que pour l'assistante médicale (AM) et la coordinatrice en médecine ambulatoire (CMA).

La crise du COVID-19 a accentué les facteurs de risque associés à une mauvaise santé mentale - l'insécurité financière, le chômage, la peur - tandis que les facteurs de protection - le lien social, l'emploi et l'engagement éducatif, l'exercice physique, la routine quotidienne, l'accès aux services de santé - ont chuté. L'ampleur de la détresse mentale depuis le début de la pandémie nécessite un soutien en santé mentale plus intégré.