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Taboues, les maladies psychiques génèrent bien des peurs et sont donc souvent tues alors qu’elles sont à l’origine d’absences prolongées et génèrent des fluctuations de personnel au coût élevé. Les mesures pour améliorer la situation ne renforcent donc pas que les personnes directement concernées en leur permettant de conserver un travail qui structure leur vie. Elles donnent en outre aux entreprises les moyens d’agir face à des personnes atteintes dans leur psychisme.

La banque de données de projets donne un vaste aperçu thématique des projets dont la qualité a été évaluée et qui relèvent de la promotion de la santé, de la prévention et du travail social.

Etre en bonne santé physique et mentale ne va pas forcément de soi, y compris pour les personnes avec handicap. Notre santé est un bien précieux dont nous devons prendre soin activement. Que pouvons-nous faire pour nous sentir bien et rester en bonne santé, avec ou sans handicap?

La parentalité est encore fortement comprise par la société suisse et les milieux professionnels concernés comme la responsabilité principale de la mère. Or, les familles, nucléarisées, sont devenues vulnérables : les mères sont moins entourées par leurs proches féminines, plus actives professionnellement; les pères impliqués se confrontent à des résistances des mondes du travail et de la périnatalité.

L’autogestion désigne ce que les personnes atteintes d’une maladie de longue durée et leurs proches entreprennent pour retrouver un équilibre dans leur vie avec la maladie et ses défis quotidiens. 66% des personnes présentant une maladie chronique possèdent de faibles compétences d’autogestion.

17 nations ont participé à l’étude Health Literacy Survey 2019-2021. 49% de la population suisse fait état de difficultés fréquentes en lien avec le traitement des informations en matière de santé et possède donc un faible niveau de littératie en santé. Si l’on prend les 17 pays (y. c. la Suisse), on constate que 46 % des personnes sondées font état de difficultés fréquentes. La proportion de personnes possédant une faible littératie en santé est donc légèrement plus élevée en Suisse.

Que sont les sciences comportementales ? Quels en sont les avantages pour la promotion de la santé et la prévention ? Le nouveau kit de communication fournit des réponses à six questions clés qui se posent lorsque la santé est promue par des approches comportementales. Ces réponses sont illustrées par des exemples qui ont déjà fait leurs preuves dans la promotion de la santé et la prévention.

La littératie en santé liée à l’orientation dans le système de santé désigne la capacité à utiliser les informations disponibles pour s’orienter et naviguer dans le système de santé. 74% de la population suisse éprouve des difficultés à s’orienter dans le système de santé en utilisant les informations disponibles.

La littératie en santé (ou compétences en santé) englobe la motivation, les connaissances et la capacité d’un individu à trouver des informations en matière de santé, à les comprendre, à les évaluer et, sur cette base, à prendre des décisions qui influent positivement sur sa santé. 49 % de la population suisse fait état de difficultés fréquentes en lien avec le traitement des informations en matière de santé.

La littératie en santé numérique est la capacité à trouver des informations en matière de santé dans des sources numériques, à les comprendre, à les évaluer et à les utiliser pour prendre des décisions concernant sa santé. 72 % de la population suisse rencontre des difficultés s’agissant de l’information numérique en matière de santé.