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L'exercice physique est une option thérapeutique efficace en cas de maladies psychiques. Mais l'exercice physique a également des effets préventifs : Les personnes ayant un mode de vie passif présentent un risque accru de maladie mentale. L'effet préventif de l'activité physique est particulièrement fort dans le cas de la dépression. La recommandation de l'OMS est de 150 minutes d'activité modérée par semaine.

Grâce à la centralisation des offres d’activités physiques adaptées, la plateforme Je me bouge pour ma santé permet un accès facilité – pour les professionnels de la santé et leurs patients – à des prestations de qualité, adaptées aux besoins et capacités de chacun. Ce projet est développé par des ligues et associations de santé avec le soutien de Promotion santé suisse et du canton de Vaud. La page "Bouger chez soi" propose des activités gratuites en ligne.

Il est difficile de faire assez d'exercice en ce moment. Le trajet vers le bureau est supprimé, le réfrigérateur n'est qu'à trois mètres et les activités de loisirs sont limitées, voire interdites. Pour remédier à cette situation, le réseau hepa.ch a dressé une liste d'activités sportives et d'exercices en ligne attrayants

Le rapport présente les facteurs de succès des programmes cantonaux, répertoriés dans des tableaux et il présente une première étape dans la futur conception d'un outil numérique. Ce rapport ainsi que le futur instrument aideront les cantons d’une part à effectuer un état des lieux des activités déployées et, d’autre part, à mettre au point une stratégie en matière de promotion de la santé et de prévention.

L’activité physique constitue un traitement efficace pour les personnes atteintes de maladies non transmissibles (MNT), de maladies psychiques ou de problèmes d’addiction. Cette composante dans la thérapie demeure toutefois peu appliquée en Suisse.

Un environnement favorable à l'activité physique doit encourager chacun à augmenter son activité physique. Un aperçu du sujet et des liens vers des brochures cantonales.

La brochure et le document de base publiés par l'OFSP en 2018 illustrent l'état de l'égalité en matière de santé en Suisse. Outre les déterminants sociaux traditionnels tels que le niveau de formation ou le revenu, d’autres facteurs comme le genre, la situation familiale, le contexte migratoire et la santé psychique ont également un effet sur la gestion de la santé.

Thèmes et objets MNT/Addictions Session de printemps 2021

En raison de l’actuelle pandémie de Covid-19, un grand nombre de personnes à travers le monde restent à la maison, font nettement moins de sport et restent beaucoup plus souvent assises que d’ordinaire. Avec la campagne #HealthyAtHome, l’OMS entend inciter les gens à maintenir malgré tout une activité physique. Dans le cadre de cette campagne, l’OMS donne en outre des conseils pour avoir une alimentation saine, renoncer au tabac ou encore prendre soin de sa santé mentale.

Tous les quatre ans, Addiction Suisse réalise, sur mandat de l'OFSP et des cantons, une enquête auprès des écoliers de 11 à 15 ans (HBSC Health Behaviour in School-aged Children). Ces données permettent l’établissement de rapports sur le comportement des élèves en matière de santé, par exemple sur la consommation de substances ou d'écrans, sur l'activité physique et l’alimentation ou sur le bien-être physique et psychique. L'étude comparative HBSC est réalisée sous l'égide de l'OMS.